Pour Aimé Eyengué, c'est cette phrase qui peut résumer "la dénégation de nombre d'étoiles montantes de la littérature congolaise qui se trouvent dispersées sur la face de la terre, représentant bien le Congo qui vient vraiment".
Le critique continue : "On s'étonne, sans voyage, que notre confrère, Alain Mabanckou, pourtant co-directeur d'un Festival auquel Brazzaville a exercé généreusement l'hospitalité (avec un financement du gouvernement congolais et de la Francophonie à hauteur de 328 millions de Francs CFA au moins !), de surcroît l'année de la célébration du 60ème anniversaire de la littérature congolaise (1953-2013), n'ait tout simplement pas associé les nouvelles générations d'écrivains congolais (...)
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