C'est en 1983, sous la houlette de Marylène et Jean-Michel Mauriello, que débute l'aventure Hibiscus Record.
A leur arrivée en Martinique, Marylène et Jean-Michel avaient dans leurs bagages, la clef de leur réussite : le 33 tours de Josy Mass. Le succès de cet album, propulsa la production "Hibiscus Records" et confirma l'idée que les artistes antillais avaient besoin dans leur environnement proche d'une structure qui leur permettrait, d'évoluer et d'assumer pleinement leur vocation.
C'est donc en collaboration avec le regretté Dominique Durepaire, qu'ils créèrent le premier studio Hibiscus ; un 16 pistes grâce auquel, la musique antillaise : traditionnelle et zouk, put s'épanouir.
De nombreux artistes de talent, furent ainsi découverts, comme : la pétillante ZAZA, les groupes Taxikréol , Kwak et Palaviré ; tandis que d'autres, tels Eugène Mona, Max Ransay, au talent déjà reconnu, purent trouver en Hibiscus Records un partenaire fidèle et sûr.
Mais ce fut, en 1989, lors du MIDEM (marché international du disque et de l'édition musicale), tenu en Métropole, qu'Hibiscus Records fit son entrée par la grande porte, sur le marché international du disque. De nombreux artistes, signèrent ainsi, des licences avec des firmes multinationales : Harry Diboula, avec la firme ASPA, s'envola pour l'Espagne , Kali, lui, parti vers le pays du soleil Levant, le Japon, en signant avec Epic Sony.
Aujourd'hui, on peut affirmer que Marylène et Jean-Michel Mauriello, ont contribué de façon indéniable à l'épanouissement de la musique antillaise et apporté à la Martinique l'un des plus réputé studio d'enregistrement de la Caraïbe