Moïra est parisienne. Après avoir chanté depuis ses premiers balbutiements, elle est allée voir du côté du fameux Berklee College of Music pour en avoir le c?ur net et savoir si elle pouvait s'engager totalement dans la musique. Depuis son retour de cette école de jazz située à Boston, Moïra se produit en duo, trio ou quartet.
En 1998, elle rencontre le pianiste Bruno Angelini et le contrebassiste Alexandre Hiele, rencontre qui lui permet d'enrichir ses interprétations. Leur volonté à tous trois est aujourd'hui de mélanger le jazz au son de l'Afrique. Avec des compositions originales et des reprises, ils créent alors une "new thing" en y ajoutant la cadence brillante de la kora de Yakhouba Sissokho, un griot gambien, et le n'goni de Moriba Koïta, un musicien au phrasé époustouflant et l'instrumentiste de référence qui accompagne les plus grandes cantatrices d'Afrique de l'ouest. Moïra a toujours cherché cette rencontre entre l'Afrique et le jazz. Avec l'apport du percussionniste Olivier Petitjean, un musicien mutant formé à l'école du jazz, de la salsa et du djembé, le groupe peut se lancer dans un brassage musical bariolé.
Moïra, chant, Bruno Angelini, piano, Alexandre Hiele, contrebasse, Moriba Koïta, n'goni, Olivier Petitjean, percussions, Yakhouba Sissokho, kora