Agathe vit une existence sans souci jusqu'à la mort accidentelle de ses parents. D'abord vendue comme esclave au Gabon, elle parviendra à retourner au Togo mais y deviendra la domestique de plusieurs familles et y mourra des suites d'un avortement clandestin. Sous une forme romancée, Journal d'une bonne est un cri du cœur qui dénonce l'exploitation de ceux qu'on nomme pudiquement "les domestiques d'Afrique".
Prix France-Togo.