En quelques clics, le lecteur de l'écrivain franco-congolais Alain Mabanckou ou du dessinateur de BD gabonais Pahé peut s'abonner à leur compte Facebook, leur laisser un commentaire, trouver la date de leur prochaine dédicace... Les artistes africains sont de fervents utilisateurs de la plateforme la plus utilisée en Afrique, avec 17 millions d'inscrits. Dans les pays du Maghreb en particulier, où la liberté d'expression faisait cruellement défaut avant le Printemps arabe, les réseaux sociaux ont connu un véritable essor. Musiciens, acteurs, écrivains, danseurs, etc. en profitent depuis pour se faire connaître sur la scène internationale et rester en contact permanent avec leurs fans.
"Ma page Facebook m'apporte une large visibilité, surtout lorsque je veux faire connaître mes nouveaux albums BD, des dessins osés. Le public se dirige de cette façon sur mon blog", explique Pahé qui, en revanche, dit ne pas maîtriser Twitter (...)
[Lire l'intégralité de l'article de Marie Villacèque publié dans Jeune Afrique]