En effet, c'est au cours de la troisième soirée du festival que les Ivoiriens de "Magic system" sont parvenus à toucher, avec leur "Zouglou", le public venu nombreux pour l'occasion. Ce dernier boudait jusqu'alors les festivités annuelles organisées dans la ville antique, impassible et imperméable à toute tentative de percée des artistes Gladiateurs. Ouvrant les hostilités avec des rythmes endiablés, les Abidjanais ont fait alors "bouger, bouger" les gradins avec le titre éponyme, devenu un de leurs classiques et ont embrasé l'atmosphère. "C'est chaud, ça brûle", au point où même la pluie menaçante n'est pas parvenue à refroidir les ardeurs du public.
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