En 2008, l'INSA et l'ENS de Lyon ont commencé la traduction et la numérisation de ces trésors historiques. Interrompue en mars dernier à causes des combats, cette collaboration revêt aujourd'hui un caractère de résistance.
Face aux récents évènements, l'inquiétude quant au sort réservé à ces manuscrits classés au patrimoine mondial a grandi d'un cran. La directrice générale de l'Unesco Irina Bokova a appelé mardi les forces militaires maliennes et françaises à protéger le patrimoine culturel du Mali, déjà gravement endommagé à Tombouctou. Quant au journaliste Jean-Michel Djian qui a publié en 2012 un ouvrage consacré à ces manuscrits de Tombouctou, il a pour sa part indiqué qu'une partie d'entre eux sont partis clandestinement à Bamako, ils sont cachés et une partie est à Paris" (...)
[Lire la suite de l'article de Chrystel Chabert publié sur le portail Culture Box]