Après une conférence de presse organisée le 23 juin dernier pour annoncer la tenue de la 8e édition du festival Ciné Droit Libre, les organisateurs de la manifestation étaient, ce 4 juillet 2012, date de l'ouverture officielle du Festival, face à la presse. Objectif : confirmer que tout se passera comme indiqué dans le programme.
Rien n'empêchera le bon déroulement de la 8e édition du festival Ciné Droit Libre. Foi d'Abdoulaye Diallo, membre du comité d'organisation de l'évènement qui a animé la rencontre avec les hommes de médias. Les projections cinématographiques ont débuté, selon le conférencier, le 2 juillet dernier à Yamtenga, un quartier spontané situé à la périphérie de Ouagadougou. "Nous y avons projeté et débattu avec les résidents de ce quartier du film : La guerre des terres. Ce film qui parle des quartiers non-lotis intéressent en premier chef les habitants de ces lieux", a ajouté M. Diallo. Les détenus de la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO) ont également eu droit à la projection du film "Boum Boum" du réalisateur burkinabè Souleymane Drabo. C'était le 3 juillet dernier.
D'autres projections sont également prévues à l'Université de Ouagadougou, dans les cités universitaires et à l'Institut français. Il est aussi organisé un café concert qui va réunir, le 5 juillet à l'Institut français, sur le même podium, en plus d'autres artistes, les rappeurs Smockey du Burkina Faso, Amkoullel du Mali et Amrical du Canada. Un concours "10 mn pour convaincre" sera également organisé à l'Université de Ouagadougou et un forum sur le thème de la 8e édition "Femme, moteur de changement en Afrique" sera animé par d'éminentes personnalités dont le Pr Serge Théophile Balima, directeur de l'Institut panafricain d'étude et de recherche sur les médias, l'information et la communication (IPERMIC), Nestorine Sangaré, ministre de la Promotion de la femme, Barbara Hendricks, marraine du festival Ciné Droit Livre 2012 et bien d'autres personnalités.
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