En questionnant quelque peu les origines qui actualisent ce conflit culturel, nous nous donnons la possibilité d'aborder le champ linguistique gabonais dans sa singularité, comme dans sa capacité à se fondre dans un cadre universel du partage de la langue française. L'étude montre que le chant des sirènes linguistes n'aboutit pas à une défaite culturelle. Mais que le roman gabonais, à l'instar des autres productions francophones, s'inscrit dans cet espace de mélange et de métissage culturel (...)
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Publié par La Revue des Ressources, le 27 janvier 2014.