A une époque ou la majorité d'enfants étaient soupçonnés de sorcier à Kinshasa, Géraldine Tobe aussi en était victime. Dix huit ans après, elle nous fait voyager dans son passé, où elle puise son inspiration, pour interagir avec ses tableaux qu'elle peint la nuit, à l'aide de la fumée d'une lampe à pétrole.
Le premier film documentaire de Nelson Makengo, Milinga, révèle avec délicatesse les paroles fragiles de Géraldine Tobe, accusée de sorcellerie par sa propre famille durant son enfance. Aujourd'hui, Géraldine est une jeune artiste plasticienne qui représente son pays à la prochaine édition de la Biennale de Dakar. Comme pour Nelson, l'expression artistique devient une forme de résistance à la difficulté et à la précarité ambiante.
A une époque ou la majorité d'enfants étaient soupçonnés de sorcier à Kinshasa, Géraldine Tobe aussi en était victime. Dix huit ans après, elle nous fait voyager dans son passé, où elle puise son inspiration, pour interagir avec ses tableaux qu'elle peint la nuit, à l'aide de la fumée d'une lampe à pétrole.