Ce documentaire s'inscrit dans le cadre promotionnel de l'expression musicale dite "africaine". C'est surtout un hymne aux musiciens Congolais, en particulier, qui, grâce à leurs efforts inlassables, ont contribué, et contribuent encore, à la propagation et à l'expansion de ces rythmes chauds à travers le monde.
En même temps, c'est une reconnaissance envers les artistes étrangers immigrés au Congo belge, notamment les Angolais. Installés depuis de nombreuses années dans ce pays, principalement à Léopoldville, après avoir fui la répression portugaise dont ils étaient victimes, ces derniers chantent la Rumba dès les années 40-50 et inventent, aux côtés de leurs homologues autochtones, ses multiples variantes...