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(6 x 52 minutes)
Réalisé par Raoul Peck
Ecrit par Pascal Bonitzer et Raoul Peck
Produit par Jérôme Minet et Nora Melhli
D'après Le Bûcher des innocents de Laurence Lacour et Le Seize octobre de Christine et Jean-Marie Villemin
Musique originale : Bruno Coulais
Compositeur très demandé du cinéma français (Microcosmos, Les Rivières pourpres, Belphégor, Le Peuple migrateur, Les Choristes…), Bruno Coulais avait déjà travaillé avec Raoul Peck pour Sometimes in April. Convaincu dès les premières images de L'Affaire Villemin, Bruno Coulais a composé la musique de chacun des six épisodes, séparément et sur mesure, accompagnant l'évolution dramatique de l'ensemble du récit.
Une production STUDIO INTERNATIONAL
En coproduction avec R.T.B.F., BE-FILMS, VELVET FILM - R. PECK Avec la participation de FRANCE 3 et ARTE France
Avec le soutien de la Région Ile-de-Franceet de la Région Franche-Comté
Armelle Deutsch : Christine Villemin
Francis Renaud : Jean-Marie Villemin
Fred Saurel : Bernard Longuet
Vanessa Guedj : Roselyne Longuet
Julie-Marie Parmentier : Brigitte Keller
Constance Dollé : Laurence Lacour
François-Régis Marchasson : Laurent Cassini
Stéphane Debac : Juge Bertrand
François Marthouret : Juge François
Alain Doutey : Me Bourgoin
Jean Barney : Me Francis Lafargue
Steve Kalfa : Me Paul Schulmann
Christian Mulot : Commissaire Colonna
Frédéric Maranber : Capitaine Verdier
Arno Chevrier : Jacques Servais
Arnaud Apprédéris : René Cauvin
Emmanuel Noblet : Pierre Thomas
Pascal Renwick : Bourdieu
Joséphine Derenne : Alice Villemin
Gérard Paillard : Albert Villemin
Alban Casterman : Didier Villemin
Chantal Meret : Gilberte Blaise
Guy Paillot : Molina
Textes et interviews : Noëlle Corbefin / France 3
Crédit photo : Bernard Barbereau/Studio International
À propos de l'utilisation des faits divers dans les œuvres de fiction :
Les "fictions du réel" se situent à la convergence de deux grands principes reconnus et consacrés par les textes et les tribunaux : la liberté d'information et la liberté d'expression. A partir du moment où des faits divers ont connu un grand retentissement médiatique, rien n'interdit de s'en inspirer pour en faire une oeuvre de fiction : le récit de faits déjà connus du public ne peut pas être considéré comme une atteinte à la vie privée des protagonistes.
L'évocation de procédures criminelles est permise dès l'instant où tous les éléments évoqués ont fait l'objet d'un débat en audience publique et ne sont plus couverts par le secret de l'instruction.
Pour autant, l'évocation de faits réels n'autorise pas à révéler des éléments de la vie privée qui n'auraient pas été dévoilés, ou bien à tenir des propos diffamatoires ou injurieux à l'égard des protagonistes. Il s'agit là des seules restrictions à la liberté d'expression.
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